VAFC POWER

Une technique qui améliore la pratique sportive

D’abord utilisée, dans certains pays, pour la préparation d’athlètes de haut niveau, l’électrostimulation est devenue une pratique courante dans le milieu sportif, qui en apprécie les bienfaits.

Qu’est-ce que l’électrostimulation ?

L’électrostimulation tend à reproduire le processus naturel de contraction musculaire. Elle consiste à envoyer dans le corps, au moyen d’électrodes, des impulsions électriques auxquelles répondent les muscles.

Celles-ci sont produites par des appareils spécifiques, dont certains sont très efficaces. Ainsi, un électrostimulateur tel que le Globus Duo Tens vous proposera des programmes spécifiquement conçus, certains pour le soulagement des courbatures ou encore d’autres pour développer votre force.

Vous trouverez ces équipements dans le catalogue de Sport Orthèse. En plus de la vente de dispositifs médicaux comme les genouillères ou les chevillières, dont il est un spécialiste reconnu, Sport Orthèse propose aussi à ses clients tout un matériel de préparation physique.

L’électrostimulation s’adresse notamment aux athlètes de haut niveau et aux adeptes de sports d’endurance.

Un développement de la puissance musculaire

L’électrostimulation ne peut, à elle seule, entraîner un développement significatif de la masse musculaire. Pour obtenir un résultat tangible, il faut la combiner à des exercices d’entraînement spécifiques. C’est cette alliance de l’électrostimulation et des contractions volontaires qui permet un réel renforcement musculaire.

Grâce à cette technique, le sportif peut fournir un effort plus intense, ce qui lui permet de gagner en puissance musculaire. Stimulés par les impulsions électriques, les muscles travaillent en effet davantage.

L’intensité de l’effort dépend en partie de la puissance et de la durée des impulsions électriques, mais aussi de la régularité de l’entraînement. L’électrostimulation ne sera vraiment efficace que si les exercices sont choisis en fonction des muscles qu’on souhaite solliciter.

Un autre avantage de cette technique est la rapidité des résultats obtenus. En effet, ce gain de puissance musculaire peut être atteint en trois ou quatre semaines d’entraînement.


Une amélioration des performances

L’électrostimulation se traduit donc par un renforcement des muscles, aussi bien en puissance qu’en volume. Elle permet donc au sportif de développer ses capacités et de déployer plus de force et d’endurance.

La puissance supplémentaire permise par cette technique est notable. En effet, les gains de force observés peuvent aller jusqu’à 50 %.

L’électrostimulation s’est montrée très efficace pour améliorer les performances dans certaines disciplines sportives, comme le ski de fond, la natation ou encore l’athlétisme.

Par ailleurs, plusieurs études récentes ont montré que ce dispositif de stimulation musculaire donnait plus de force au saut pratiqué par certains sportifs, comme les volleyeurs.

Une meilleure récupération

Les sportifs utilisent également l’électrostimulation pour récupérer plus facilement après avoir fourni un effort intense.

Un électrostimulateur appliqué à l’issue d’une séance de sport contribue, en effet, à améliorer la circulation sanguine et à assurer un bon retour veineux. Ce mécanisme naturel, qui se traduit par la remontée du sang vers le cœur, est essentiel pour un sportif. En effet, il joue un rôle important dans l’élimination des toxines, ce qui permet de limiter le risque de blessures.

L’électrostimulation accélère ce processus d’élimination des déchets produits par les muscles au cours de l’entraînement. Elle aide aussi à réduire l’impact des douleurs musculaires et des courbatures qui font suite à une séance de sport intensive.

En créant les conditions d’une bonne récupération physique, cette technique donne au sportif les meilleures chances d’améliorer ses performances futures.

SOURCES :

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12370566

Comment utiliser le pari live pour parier comme un expert sur le foot ?

Vous connaissez forcément le pari classique. Grâce au direct, offrez-vous une immersion totale dans les rencontres du Valenciennes Football Club. C’est le moment de montrer que vous connaissez votre club par cœur et de placer vos paris comme un expert. Ne loupez aucun fait de match et profitez des cotes intéressantes du live. Bordeaux et Nîmes se dressent sur la route du VA FC, prêt à miser ?

 Des matchs comme si vous y étiez

Avec le pari en direct, invitez-vous sur la pelouse de votre club. Le principe est simple : tout au long des 90 minutes, la cote des matchs avec Parions Sport évolue. Chaque action peut changer la donne, à vous de saisir votre chance quand la côte vous semble la plus intéressante. Soyez réactif, il suffit d’un contre pour tout changer et diminuer vos gains potentiels. Vous n’êtes pas dans les tribunes, ni devant votre écran ? Avec Parions Sport TV, suivez la rencontre en streaming où que vous soyez. Vous aurez toutes les clés en main pour placer vos paris au meilleur moment.

 Les paris en live pour de nouvelles sensations avec le VA FC

 Les derniers matchs n’ont pas tourné à l’avantage du VA FC, mais ils ont été pleins de rebondissements. C’est exactement ce qu’il faut pour le live betting. Lorsque les faits de match s’emballent, les cotes des bookmakers en font autant. Contre le Paris FC, après les deux buts consécutifs du club de la capitale en première mi-temps, Valenciennes était mené 2-1. À ce moment, la cote pour un nul avant la pause a dû s’envoler : avec seulement quelques minutes à jouer en première période, c’était le moment idéal pour parier. Les Valenciennois ont instantanément réagi et Adrian Grbić a marqué dans les arrêts de jeu. Les deux clubs ont fini à 2-2 après 45 minutes et certains ont dû empocher des gains intéressants.

 Comment parier en live pour les prochains matchs de Valenciennes ?

 Plusieurs techniques sont possibles. Si le VA FC est annoncé comme favori contre Nîmes par les pronostics, sa cote sera faible et les gains potentiels limités. Il peut toutefois arriver que l’équipe fasse une mauvaise entame de match : sa cote va alors augmenter. Avec les paris en live, vous pouvez maintenant miser à ce moment clé. Lorsque votre équipe reprendra le dessus pour s’imposer, vous empocherez de plus grands gains qu’avec votre pari d’avant-match.

 Le VA FC n’a pas marqué, est largement mené par Bordeaux, mais vous savez que vos joueurs préférés ne lâchent jamais rien ? À 30 ou 20 minutes à la fin du match, il y a de fortes chances que la cote mettant le VA FC comme club marqueur augmente. C’est le moment de parier sur « plus de 0,5 but » car l’équipe dominante va se relâcher. Votre club pourra tout donner pour marquer au moins un but et sauver l’honneur. C’est d’autant plus probable que Valenciennes n’a pas fini un match sans marquer depuis le 31 janvier, contre Sochaux.

Avec le live betting, donnez de nouvelles perspectives à vos paris sur le VA FC. Suivez les matchs en direct et misez au fur et à mesure de l’évolution du jeu pour profiter des meilleures cotes. Grâce à vos connaissances sur Valenciennes, vous avez toutes les clés en main pour remporter de beaux gains.

Nicolas Rabuel n’est plus l’entraîneur du VAFC

Le VAFC devrait annoncer la fin de sa collaboration avec son entraîneur Nicolas Rabuel. La décision a été prise par la direction du club suite à la défaite contre Annecy le 13 avril, malgré leur supériorité numérique.

Cette défaite était celle de trop pour Rabuel et son équipe, qui avaient connu une série de résultats décevants ces derniers temps. En effet, le club avait chuté de la 5ème à la 16ème place de la Ligue 2 entre la 15ème et la 30ème journée du championnat, ce qui avait mis une pression considérable sur l’entraîneur et son équipe.

Malgré un début prometteur, où Rabuel avait été acclamé par tous pour de très bons résultats étant donnés les moyens alloués au marché des transferts, les choses ont commencé à mal tourner pour le club. C’est pourquoi la direction a décidé de prendre des mesures radicales et de mettre fin à la collaboration avec Rabuel. C’est ce que annonce la Voix Du Nord.

Son successeur, Ahmed Kantari, qui dirigeait auparavant l’équipe réserve en N3, prendra immédiatement sa place et aura la lourde tâche de sauver le club d’une potentielle relégation sportive.

Les supporters de Valenciennes espèrent maintenant que Kantari sera en mesure de redynamiser l’équipe et de la ramener sur le chemin de la victoire. Seul l’avenir nous dira si cette décision s’avérera payante pour le club.

Éric Chelle nouvel entraineur du VAFC ?

Valenciennes FC a subi une défaite de 1-2 contre Annecy, ce lundi, qui a été la neuvième sur les dix-neuf derniers matches de Championnat.

Depuis le 15 octobre, l’équipe a connu seulement un succès et huit matchs nuls. La situation est devenue critique pour Nicolas Rabuel, l’entraîneur du VAFC, qui est sous contrat jusqu’en juin 2024. Après cette défaite, le président du club hennuyer, Eddy Zdziech, a commencé à réfléchir à un changement d’entraîneur pour créer un électrochoc au sein de l’équipe.

Actuellement, Valenciennes est classé 15e de Ligue 2 avec 33 points, seulement deux points devant le premier relégable, Laval. Le prochain match est contre Niort, le dernier de Ligue 2, le samedi à 19 heures. Selon plussieurs sources, le président a proposé le nom d’Éric Chelle, actuel sélectionneur du Mali et ancien défenseur de VA, pour remplacer Rabuel. Cependant, la tendance est de confier les rênes de l’équipe première au coach de la réserve, Ahmed Kantari, qui a le soutien des joueurs.

Ahmed Kantari, ancien défenseur central de VA et ancien entraîneur adjoint, occupe actuellement la deuxième place de son championnat derrière Feignies (Nord) et devant plusieurs équipes réserves professionnelles (Lille, Lens, Amiens). La décision finale sera prise d’ici jeudi.

Quels espoirs pour Valenciennes pour la saison 2022-2023 ?

Rideau, la saison de Ligue 2 2021-2022 est terminée, circulez il n’y a rien à voir !

C’est un peu le constat qui doit être fait quand on pense à la saison du Valenciennes Football Club. En terminant à la seizième place avec seulement 44 points et surtout à peine 10 victoires dans toute la saison, on se dit que les derniers mois n’ont pas été simples pour le club et qu’il était temps que la pause estivale arrive. Celle-ci sera l’occasion pour le staff de faire le point sur ce qui doit être fait pour l’avenir et pour les joueurs de se reposer afin de se relancer dans une saison bien plus positive, pour l’équipe comme pour les supporters. Mais le VAFC a-t-il vraiment les moyens de faire mieux l’an prochain ? On fait le point sur le sujet.

Des dernières saisons en demi-teinte

Depuis bientôt 10 ans déjà, le Valenciennes Football Club évolue en Ligue 2. Depuis la saison 2014-2015, le club n’a pas su se rapprocher de la Ligue 1. Heureusement, dans le même temps, l’équipe n’a pas sombré davantage non plus. Car, on s’en souvient, en juin 2014, le VAFC a été sauvé in extremis financièrement et sportivement, en frôlant la relégation en CFA. Clairement, l’âge d’or valenciennois, qui a tant fait vibrer les supporters du club dans les années 1950 et 1960, paraît bien loin. La renaissance du début des années 2000, porté par les entraîneurs Antoine Kombouaré (récemment sacré avec le FC Nantes en Coupe de France) et Philippe Montanier semble aussi appartenir à une autre ère.

Ces dernières années, on peut le dire, le VAFC lutte. Pour la saison 2020-2021, on pouvait comprendre pourquoi. Tout le monde est plus ou moins d’accord sur le sujet, « sans fans, le football n’est rien » : c’est vrai depuis la création de ce sport qu’on aime tant et ça restera vrai pour toujours. Dès lors, le fait de jouer dans un stade vide pendant presque une saison entière pour ce club qui a un jour été sacré au Championnat de France des tribunes, c’était forcément très difficile.

Et pourtant, la réalité est que cette saison qui a marqué le retour des supporters dans les stades n’a pas franchement réussi aux joueurs de Valenciennes. Peu de victoires, peu de buts, beaucoup de matches pleins de frustrations et de déceptions, pas grand-chose a souri aux joueurs de Valenciennes cette année. La touche d’espoir qui pourrait tout changer ? Le VAFC a terminé sa saison sur deux victoires d’affilée, contre Sochaux puis Niort. Alors, peut-on y voir un renouveau ?

Un mercato qui reste à découvrir

Pour le moment, rien ou presque ne filtre concernant l’avenir des joueurs et du staff au sein du club. En revanche, ce que l’on sait déjà, c’est que Christophe Delmotte, venu remplacer au pied levé Olivier Guégan à la tête de l’équipe pendant la saison, a décidé de laisser sa place et de retourner à la formation du VAFC. Pour le remplacer, le club chercherait à miser sur une solution interne et peu coûteuse. Dans les faits, le nom de Nicolas Rabuel circule depuis quelques jours. Sera-t-il confirmé en tant que nouvel entraîneur de l’équipe professionnelle du VAFC ? Réponse dans quelques jours ou quelques semaines.

Du côté des joueurs, aucun mouvement (départ comme arrivée) n’a encore été annoncé. Mais une chose est désormais sûre : avec un nouveau coach sur le banc valenciennois, l’ensemble de l’équipe va voir son ambiance et son état d’esprit transformés ! Espérons que ce sera pour le meilleur, même s’il est difficile d’envisager un sursaut après ces dernières années décevantes pour l’équipe. Revenir à un excellent niveau pour pouvoir espérer se rapprocher de nouveau de l’élite prendra forcément du temps. Il y a donc peu de chances pour que Valenciennes accède à la Ligue 1 à l’issue de la saison 2022-2023. Mais l’équipe a en revanche le potentiel pour revenir dans la première partie du classement de Ligue 2, comme elle a su le faire par le passé. Et qui sait, peut-être que la bonne surprise viendra de la Coupe de France, qui laisse chaque année sa chance à toutes les équipes qui y participent ?

Vous l’aurez compris, les espoirs sont limités pour la prochaine saison du VAFC, qui a simplement semblé assurer le minimum au fil des dernières saisons et qui doit désormais se reconstruire de façon durable. Mais l’espoir fait vivre, tout comme l’amour du club. Alors on croise les doigts pour une belle saison 2022-2023. Rendez-vous à partir du 30 juillet pour soutenir l’équipe match après match ! 

Penneteau n’a pas encore raccroché

Professionnel depuis 1997, l’ancien gardien de Valenciennes a fêté ses 40 ans en février dernier et continue pourtant à ce jour, d’occuper les cages d’un effectif professionnel. Après une immense carrière et une empreinte indélébile au sein des clubs pour lesquels il a joué, Nicolas Penneteau évolue désormais du côté du Stade de Reims avec un rôle bien précis.

Si le club rémois est actuellement en difficulté et n’a généralement pas les faveurs des pronostics sur Bet365 au Canada ou ailleurs, Penneteau prend à coeur son nouveau rôle sportif.

Celui qui vient de remporter un procès face à son ancien employeur du VAFC a connu une grande carrière et la flamme continue de brûler de son côté. Jusqu’à quand ? Ce n’est pas une question qu’il faut lui poser !

Aux extrêmes de la France

Né à Marseille, il franchit rapidement la Méditerranée pour retrouver la terre de sa mère, d’origine corse. Là-bas, sa passion pour le football va se solidifier au point d’être repéré par le SC Bastia, le club corse le plus prestigieux de l’île de Beauté et situé au nord de son port d’attache, à Porto-Vecchio. Il y fera ses classes jusqu’à obtenir un contrat professionnel et jouer son premier match en tant que tel lors de la saison 1998/99.

Chéri par les supporters locaux, il ne put empêcher la descente du club en Ligue 1 à l’issue de la saison 2004/05 et quittera le club une saison plus tard, sans avoir pu lui permettre de remonter en Ligue 1.

C’est une autre atmosphère mais une ambiance et une joie de vivre tout aussi chaleureuse et prononcée qu’il découvrira dans l’extrême nord de la France, là où le sudiste aura besoin de plusieurs semaines afin de s’acclimater. 
Avec Valenciennes, il va redécouvrir la Ligue 1 au sein d’un club venant d’obtenir sa montée historique.

Il deviendra rapidement l’un des visages du stade du Hainaut et l’un des joueurs préférés de toute une région. Intrépide dans ses cages, il fut l’auteur d’instants d’exception et son passage en terre nordiste sera toujours lié aux grandes années du VAFC passées en Ligue 1.
Il connaîtra malheureusement les problèmes financiers du club – raisons également du procès en justice ternissant un peu sa relation avec son ancien employeur – et quittera le navire en 2014, alors que le gendarme financier du football français décidait de reléguer administrativement l’entreprise et intrinsèquement, le club.
Départ alors pour une première expérience à l’étranger, toujours dans le nord.

Histoire d’amour belge

Il était annoncé un temps de retour au SC Bastia mais c’est finalement à Charleroi qu’il finira par s’engager pour une durée initiale de deux saisons, en 2014.

Parfois titulaire, parfois relégué sur le banc à cause de blessures ou d’excellentes performances de ses coéquipiers dans les cages, Penneteau n’aura jamais rechigné en Belgique, à l’image de sa carrière. Il passera finalement sept saisons en Belgique, laissant une fois de plus une trace indélébile et celle d’un gardien courageux et d’un homme apprécié pour sa loyauté.

De retour en France, il signait pour une dernière pige, à plus de 40 ans mais dans un rôle différent de ceux connus au cours de sa carrière.

Dernière pige à Reims

Décidément, le natif de Marseille s’est particulièrement adapté au nord et n’aura connu après Bastia, uniquement des clubs du nord de la France et de Belgique. À Reims, Penneteau aura très peu de chances d’honorer une dernière pige en Ligue 1, surtout au vu de la situation sportive dans laquelle se trouve le club en début de saison.

Arrivé convaincu par l’idée du projet au poste de troisième gardien, son rôle est entre-autres d’encadrer le groupe et les autres gardiens de l’effectif professionnel et aspirant. Le jeune et prometteur Yehvann Diouf est attendu comme une référence en Ligue 1 dans les prochaines saisons et l’apport de Penneteau auprès de lui doit sans aucun doute l’aider chaque jour à l’entraînement.

Si Penneteau veut boucler la boucle, il rêvera tout au long de l’année et à coup sûr, d’une seule pige en Ligue 1 ou en Coupe, afin de clôturer une longue et réussie carrière.